Publié le: 12 février 2014 Publié par: david Commentaires: 0

Le parcours administratif d’une entreprise est semé d’embûches et d’obligations juridiques, fiscales, comptables et sociales simples ou complexes, ponctuelles ou récurrentes, qui sont parfois gérées de façon étonnamment archaïque, inutilement chronophage, et injustement onéreuse. Une ineptie méthodologique à optimiser de toute urgence, à l’heure où le digital simplifie, automatise, paramètre et certifie.

Le paradoxe méthodologique

À l’ère du tout virtuel et de la dématérialisation à outrance, comment ne pas trouver obsolète et inutile de continuer à gérer des formalités administratives élémentaires et basiques, telles que les déclarations, les enregistrements, les dépôts et les publications officielles, de façon manuelle et individualisée. Qui dit juridique ne devant pas obligatoirement vouloir dire archaïque, il est indispensable pour les gestionnaires en mal d’organisation temporelle et budgétaire de se mettre à la page technologique et à l’optimisation entrepreneuriale, et de passer du papier au virtuel, et de l’habitude à l’actualité. Les prestations en ligne existent, alors pourquoi naviguer à contre pied du progrès ?

La prise de conscience digitale

Qu’il s’agisse de téléchargement, de remplissage et d’envoi de formulaires plus ou moins complexes, ou encore de saisie synthétique, d’enregistrement et de certification de publication d’annonces formelles et légales, les technologies digitales constituent un outil générateur de performance, d’automatisme, de pointillisme, de modularité et de sécurisation, alors pourquoi passer à côté de leur usage et mépriser leur praticité ? Si c’est une question de réflexes, il faut assimiler que les avantages procurés par les fonctionnalités en ligne peuvent répondre à toutes les demandes de façon plus simple et plus compétitive, et si c’est une histoire de confiance, il faut comprendre qu’au regard des conditions générales de services, une prestation web n’a rien à envier à un interlocuteur réel en matière d’engagement, d’efficacité, d’habilitation, de facturation et de certification. Alors vivons dans l’intelligence virtuelle et surtout dans le présent, et à bon gestionnaire, salut technologique…